Un p'tit texte en vrac pour jaser en ce beau samedi après-midi. Le soleil brille, la madame est tranquillement installée dans la cuisine chez son homme et elle aurait juste envie de s'étendre dans la cour pour commencer un bronzage estival précoce (qui malheureusement ne vient jamais, parce que soit je brûle littéralement ou bien je reste blanche comme un drap. Snif snif.). Le moral va tellement mieux depuis que le soleil s'est pointé le bout du nez. J'en ai profité pour sortir mes lunettes et mes souliers de course Sketchers. Maudit qu'on est bien en runnings!
Je suis en train de devenir une banlieusarde. Mon homme et moi nous sommes achetés une plante verte. Une fausse plante verte avec des fausses fleurs blanches. Dans un beau pot brun foncé. Ça trône dans le salon proche de la fenêtre. D'un coup qu'elle aurait besoin de lumière quand même la fausse plante. C'est beau pareil! De toute façon, je n'ai jamais été réputée pour mon pouce vert. La seule plante que j'ai réussi à entretenir, elle avait de belles fleurs roses, je pense que c'est mon père qui me l'avait acheté parce que j'étais hospitalisée le jour de la St-Valentin. J'avais le temps, donc je l'arrosais religieusement à tous les jours, en plus elle pouvait prendre sa dose de chlorophylle sur le bord de la fenêtre. Revenue à la maison, elle est morte... parce que j'oubliais de lui donner de l'eau. Il n'y a aucun végétal qui survit dans la maison de Montréal. Ça doit se transmettre de mère en fille.
Tant qu'à mal manger, on s'est dit qu'une poutine maison, ça serait donc bon! Et c'était très bon, gracieuseté de la sauce à poutine maison de Ricardo, mon idole en cuisine. Y a rien de meilleur que du fromage squish squish de toute façon! L'avantage, c'est que je suis tellement bourrée après une poutine que ça m'empêche de manger du dessert. Pas que je surveille ma ligne, mais une fille reste une fille. Toujours à l'affût du fatidique bourrelet, même si mes jeans sont un peu lousses. Trouvez l'erreur.
Oh, une poutine maison! J'aurais aimé être dans votre cuisine... Chanceuse!
RépondreEffacerÇa sent le printemps ce petit texte-là. Ça sent bon. :)
RépondreEffacerÇa sent le junk food! :P
RépondreEffacerJe l'aime tellement Ricardo!!!
RépondreEffacerMarie: Ouiiii! En plus, il sort sa gamme d'instruments de cuisine! Je capote!
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